Dans un contexte où les Français font très attention à leurs dépenses d’énergie, le parc immobilier national comprend encore beaucoup trop de passoires thermiques. En effet, au 1er janvier 2022, 19 % des résidences principales (soit près de 6 millions) sont considérés comme des logements énergivores, voire très énergivores (1). Si l’on ne s’intéresse qu’au parc locatif privé, 1,6 million de biens sont concernés (2).